Category Archives: Maux de tête et/ou de cou
Le patient au cœur des traitements chiropratiques
Les temps ont bien changé depuis l’époque où les patients écoutaient passivement les recommandations de leur médecin ou de leur professionnel de la santé. Aujourd’hui, les technologies de l’information permettent à chacun de prendre un rôle actif dans ses traitements. Les patients sont plus critiques et mieux informés. Pour vous aider à trouver des sources d’informations crédibles[i], nous mettons à votre disposition des dépliants de l’Association des chiropraticiens du Québec sur diverses conditions ainsi qu’un blogue Internet comprenant notamment des astuces pour améliorer votre santé au quotidien. Il n’est pas rare de vous voir arriver à votre consultation avec une liste de questions pertinentes à votre situation.[ii]
Ce n’est pas sans raison que nous encourageons nos patients à venir accompagner des personnes significatives lors de la présentation de leur rapport d’évaluation neuromusculosquelletique et radiographique. Que ce soit un parent, un conjoint ou un membre de la famille, il est important que les gens qui vous accompagnent dans votre processus de guérison soient bien informés[iii]. L’adage voulant que « deux têtes valent mieux qu’une » prenne tout son sens lorsque les informations reçues sont nombreuses et que vous êtes susceptible de vivre un stress psychologique qui s’ajoute au stress physique relié à votre blessure ou votre maladie[iv]. Le simple fait que votre proche entourage soit présent permet d’éviter les confusions et les mauvaises interprétations entourant la compréhension de votre problème et des traitements à venir.[v]
Durant toute la durée de vos traitements, vous êtes responsables de faire les exercices suggérés et de suivre les conseils et les recommandations de votre docteur en chiropratique[vi]. Chaque personne étant différente, vous demeurez la personne la mieux placée pour nous expliquer ce qui a bien fonctionné ou non pour vous[vii]. Il est important de prendre conscience de votre corps[viii] et des postures que vous adoptez au quotidien pour optimiser le traitement[ix]. N’oubliez pas que le fait de demeurer réaliste vous permettra d’être plus autonome dans la gestion des symptômes en adoptant un meilleur régime de vie qui comprend conseils et thérapies[x]
La chiropratique est une approche qui considère le patient en tant qu’individu en regardant au-delà des maladies et des symptômes qui l’habitent.[xi] Cette approche cherche avant tout à prévenir les problèmes neuromusculosquelletiques avant qu’ils n’apparaissent. Si le mal est déjà fait, le docteur en chiropratique est habilité à faire les examens nécessaires, à prendre des radiographies au besoin, à poser un diagnostic précis et à élaborer un plan de traitement qui répond à vos besoins et à vos objectifs de santé[xii]–[xiii]. « Cette approche sourira à ceux et celles qui ont vécu des expériences frustrantes au sein du système de santé canadien. En effet, une étude effectuée en 2009 par l’Agence de la santé publique du Canada qui a suivi l’évolution au sein du système de santé de patients souffrant de dorsalgie et de cervicalgie chronique a révélé que de nombreux patients en venaient à la conclusion qu’ils devaient vivre avec la douleur. » [xiv] Pourtant, il existe des solutions pour vous aider en cas de maux de dos ou de cou.
Bien que les solutions appropriées dépendant de votre état de santé particulier, il peut être intéressant de faire d’appliquer de la glace une quinzaine de minutes, de faire des exercices et des étirements appropriés pour votre cou ou votre dos, de revoir l’ergonomie [xv] de votre poste de travail, être vigilant au niveau de sa posture (assise, debout, couchée, au travail ou au cellulaire, en évitant d’avoir le dos rond[xvi] ou d’avancer excessivement la tête. À cela s’ajoutent les conseils de santé généraux tels qu’avoir une saine alimentation, une hydratation suffisante, un sommeil récupérateur, une bonne gestion du stress et une vie active. Concrètement, le simple fait de boire beaucoup d’eau permet aux disques de la colonne vertébrale de demeurer spongieux[xvii]. Pour aller plus loin, nous vous suggérons de lire nos articles Top 5 des trucs et astuces pour réduire les maux de tête et Ce que vous pouvez faire pour maintenir un dos en santé – notre top 5.
N’attendez pas d’être confronté à une blessure ou à une maladie pour jouer un rôle actif dans l’optimisation de votre état de santé[xviii]. Prenez dès aujourd’hui les mesures nécessaires pour vous aider à avoir un avenir éclatant de santé[xix].
Chiropratiquement vôtre,
Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com
Sources :
ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Idées reçues sur le traitement chiropratique, publié en ligne le 10 février au https://www.chiropractic.ca/fr/conseils-pour-le-dos/idees-recues-sur-le-traitement-chiropratique/
ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
Références :
[i] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[ii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[iii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[iv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[v] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[vi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[vii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[viii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[ix] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[x] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xiii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Idées reçues sur le traitement chiropratique, publié en ligne le 10 février au https://www.chiropractic.ca/fr/conseils-pour-le-dos/idees-recues-sur-le-traitement-chiropratique/
[xiv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[xvi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xvii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Le patient au cœur de tout, publié en ligne le 11 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/le-patient-au-coeur-de-tout/
[xviii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
[xix] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2016. Les patients : des partenaires, publié en ligne le 24 février au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/les-patients-des-partenaires/
Agissez rapidement en cas de commotions cérébrales
Les commotions cérébrales ne sont pas un phénomène nouveau. Ce qui a évolué, c’est la compréhension que nous avons de cet événement et des conséquences qui y sont reliées. Aujourd’hui, les sportifs sont sensibilisés aux risques qui y sont inhérents et reçoivent un suivi médical plus serré. C’est toute une révolution comparativement à l’époque où les joueurs étaient « encouragé[s] à retourner au jeu sans aucune forme de soin particulier »[i].
Qu’est-ce qu’une commotion cérébrale ?
Une commotion cérébrale est la conséquence d’un traumatisme, direct ou indirect[ii], à la tête qui provoque un mouvement du cerveau dans le crâne[iii]. Il est important de mettre l’accent sur le mot « indirect » parce qu’une commotion cérébrale peut être causée par un coup reçu ailleurs qu’à la tête, au cou ou au visage. [iv] En fait, lorsque le cerveau frappe le crâne[v], il s’en suit diverses réactions complexes[vi] comprenant, entre autres, une perturbation des fonctions neurologiques[vii], « des saignements internes, des ecchymoses, des lésions aux tissus, l’augmentation de la pression intracrânienne[,] l’accumulation de liquide»[viii], « un déséquilibre biochimique cérébral, une diminution du flux sanguin ainsi qu’un déficit énergétique temporaire des cellules du cerveau.» [ix]. Sachez que ce phénomène porte aussi le nom médical de traumatisme craniocérébral.[x]
Qui est à risque de subir une commotion cérébrale ?
Sans grande surprise, les commotions cérébrales touchent entre 5% et 10%[xi] des athlètes et ce serait l’une des blessures les plus courantes dans le monde sportif[xii]. Sans grande surprise, ce sont les athlètes de haut niveau[xiii], ceux qui pratiquent un sport de contact[xiv] –[xv]–[xvi] ou qui comportent des déplacements rapides[xvii] qui seraient particulièrement à risques puisque 10% à 30% d’entre eux seront victimes d’une commotion cérébrale au cours de leur saison[xviii]. Vous n’avez qu’à penser aux joueurs de hockey, de soccer (5% à 10%)[xix], de football (15% à 20%)[xx] et les boxeurs professionnels[xxi]. D’ailleurs, « les experts estiment à 20 000 le nombre de joueurs de hockey canadiens de rang junior qui subiront eux aussi une commotion cérébrale » [xxii]. Ce qui est le plus accablant, c’est de savoir que ces chiffres sont probablement bien en dessous de la réalité, car la moitié des commotions cérébrales ne seraient pas reportées ou diagnostiquées. [xxiii]
Cela dit, les commotions cérébrales ne touchent pas uniquement les sportifs de tous les niveaux. Elle peut résulter d’un bête accident[xxiv] qui provoque un coup à la tête[xxv], d’un accident de voiture[xxvi] — (voir l’article coup de lapin), d’une chute à vélo[xxvii] (voir articles vélo) ou être le résultat d’une personne qui a été secouée violemment[xxviii]. En d’autres mots, personne n’est à l’abri de se retrouver aux prises avec une commotion cérébrale au cours de sa vie.
Comment reconnaître une personne qui souffre de commotion cérébrale ?
Avant de se lancer dans une énumération de symptômes possibles, il nous apparaît important de mettre l’emphase sur le fait que le cerveau « ne possède pas de récepteurs de douleur pour lui-même » [xxix]. En d’autres mots, il est fort possible qu’une personne aux prises avec une commotion cérébrale ne ressente aucune douleur au niveau du crâne et de la tête[xxx] et que, par conséquent, les symptômes passent inaperçus auprès de la personne atteinte, de son entraîneur, des parents et de son entourage[xxxi] –[xxxii].
« […] il est fort possible qu’une personne aux prises avec une commotion cérébrale ne ressente aucune douleur au niveau du crâne et de la tête et que, par conséquent, les symptômes passent inaperçus […] »
Parmi les signes les plus critiques soulignons de sévères maux de tête-[xxxiii], des vomissements[xxxiv], faiblesse[xxxv] ou engourdissement au niveau des bras ou des jambes, une attaque de panique, une irritabilité[xxxvi]–[xxxvii] accrue ainsi que de la confusion[xxxviii] notamment au niveau du langage[xxxix], par la répétition de mêmes questions ou par l’incapacité à reconnaître des personnes ou son environnement. [xl] Si vous remarquez l’un de ses symptômes, vous devriez diriger cette personne immédiatement vers un hôpital.[xli] Toutefois, il existe d’autres symptômes relativement fréquents tels que ressentir de la fatigue[xlii]–[xliii]–[xliv], des vertiges[xlv]–[xlvi], des difficultés de concentration[xlvii]–[xlviii] ou de mémoire[xlix], des problèmes visuels[l]–[li]–[lii] ou auditifs[liii]–[liv], un changement de comportement[lv]–[lvi], de l’anxiété[lvii], des troubles de sommeil[lviii]–[lix] voire même des difficultés scolaires[lx]–[lxi] ou une dépression[lxii]–[lxiii]. Bref, il s’agit d’une liste non exhaustive des nombreux symptômes possibles.
Quelles sont les conséquences liées aux commotions cérébrales ?
Comme nous l’avons dit précédemment, une commotion cérébrale est un traumatisme au niveau du cerveau qui peut avoir des conséquences importantes sur cet organe[lxiv] à court et à long terme[lxv]–[lxvi]–[lxvii]. Tout comme les symptômes, que les conséquences sont uniques à chaque personne. [lxviii] Elles peuvent toucher les fonctions physiques – étourdissement, et fatigue[lxix] –, émotionnelles – les comportements et la personnalité[lxx] , cognitive – la mémoire et la concentration[lxxi]–[lxxii] – et neurologiques.[lxxiii]— En plus des impacts sur le cerveau, la personne affectée par une commotion cérébrale risque aussi d’avoir subi des blessures musculosquelettiques en raison du choc reçu. [lxxiv]
Les plus grands risques qui y sont liées est de négliger de traiter une commotion cérébrale[lxxv] et de retourner au sport trop rapidement[lxxvi]. En fait, « la commotion n’est pas nécessairement le problème puisqu’elle peut être traitée et guérie généralement complètement, c’est la mauvaise prise en charge de la commotion qui est le vrai problème. » [lxxvii] En plus d’être relativement difficile à détecter,
Il faut également savoir que la guérison sera retardée par les activités physiques ou mentales qui seront faites dans les jours suivant l’incident. [lxxviii] Lors d’une commotion cérébrale, le cerveau subit un déficit énergétique qui augmente sa vulnérabilité[lxxix]–[lxxx] dans le cas d’un traumatisme supplémentaire qui peut aller jusqu’à causer des dommages permanents[lxxxi] ou fatals.[lxxxii]
Ce que la chiropratique peut faire pour vous ?
Sachez que les docteurs en chiropratique sont des premiers répondants, c’est-à-dire que vous n’avez pas besoin d’être recommandé par un médecin pour bénéficier de leurs soins. Ils sont formés, entre autres, pour vous aider à améliorer vos performances sportives en optimisant vos capacités physiques, en réduisant la douleur et ses symptômes, en prévenant l’apparition des blessures sportives et en traitant vos conditions neuromusculosquelettiques. Sachez qu’il est fort possible que le trauma qui a mené à la commotion cérébrale ait occasionné, directement ou indirectement, des dysfonctions intervertébrales mineures. Le chiropraticien pourra ajuster les dysfonctions intervertébrales qui sont souvent négligées et qui pourtant nuisent à la récupération lors d’incidents sportifs. Il s’agit là de quelques-unes des raisons qui expliquent pourquoi la plupart des équipes sportives de niveau professionnel comptent un chiropraticien parmi leur équipe de professionnels de la santé. En fait « [u]ne partie de leur rôle consiste à traiter des cas possibles de commotion cérébrale et à les diriger vers d’autres services médicaux au besoin. Les chiropraticiens interviennent aussi dans le rétablissement et le retour au jeu des athlètes. » [lxxxiii] Plus près de chez nous, le joueur de hockey professionnel canadien, Sidney Crosby, avait été suivi par le chiropraticien américain Dr Carrick pour traiter sa commotion cérébrale (pour plus de détails, cliquez ici).[lxxxiv] Si le sujet de la chiropratique sportive vous intéresse, nous vous suggérons de lire notre Le sport à l’avant-scène.
« […] il est fort possible que le trauma qui a mené à la commotion cérébrale ait occasionné, directement ou indirectement, des dysfonctions intervertébrales mineures. Le chiropraticien pourra ajuster les dysfonctions intervertébrales qui sont souvent négligées et qui pourtant nuisent à la récupération lors d’incidents sportifs […] »
Diagnostique
Grâce à un examen physique et radiologique approfondi, le chiropraticien est habilité à détecter les problèmes neuromusculosquelltiques, à offrir un suivi pour favoriser la récupération suite à une commotion cérébrale[lxxxv] et à permettre un retour au jeu sécuritaire[lxxxvi]–[lxxxvii]. Il est conseillé d’approfondir les examens avec des radiographies ou une résonnance magnétique afin d’écarter l’éventualité d’une fracture, d’une hémorragie ou d’un œdème au niveau du crâne. [lxxxviii] « La commotion est parfois difficile à diagnostiquer en raison de l’évolution dans le temps des signes et symptômes cliniques. Le diagnostic repose sur une évaluation de symptômes (maux de tête, manque de concentration, impression d’évoluer dans un brouillard, labilité émotionnelle), de signes (perte de conscience ou problème d’équilibre), de troubles cognitifs (confusion ou réactions plus lentes) et de changements neurocomportementaux (irritabilité).»[lxxxix] La précision du diagnostic sera améliorée si le patient consulte rapidement et si le docteur en chiropratique connaît l’état normal du patient notamment avec l’aide d’un test de base. Nous y reviendrons plus en détail à travers les pistes de solutions.
Traitements
Dans plus de 80% des cas, une commotion cérébrale peut être traitée dans un délai de sept à dix jours.[xc] Il faut toutefois s’attendre à ce que la période de rétablissement soit plus longue chez les enfants et les adolescents[xci] ainsi que chez les personnes ayant déjà subi une commotion cérébrale[xcii]. Bien que des améliorations puissent être ressenties dès le premier traitement, « un rétablissement complet peut prendre, règle générale, de trois semaines à trois mois »[xciii]. La rapidité à laquelle la personne consulte après l’incident est un facteur grandement facilitateur dans le processus de guérison.[xciv]—
Dès que survient une commotion cérébrale, il est important d’éviter tout effort physique et mental durant 48 heures afin de permettre au corps de récupérer.[xcv]–[xcvi]– [xcvii] Ainsi, durant les deux premiers jours, vous devriez éviter la lecture, la télévision, les jeux vidéo, Internet et même les textos. L’idéal est de se faire accompagner par un professionnel de la santé qui saura évaluer votre progression pour vous amener vers un état optimal. Si vous ne ressentez pas une aggravation des symptômes, vous pouvez ensuite intégrer quelques activités cognitives et physiques légères. [xcviii]— Les activités cognitives, telles que celles qui étaient interdites lors des premières 48 heures, devraient être limitées à des périodes de 15 minutes et progressivement augmentées pour un maximum d’une heure consécutive. Du côté des activités physiques, vous pouvez vous permettre une séance de 20 à 30 minutes d’entraînement aérobique légère[xcix] telles que la marche, la natation ou le vélo stationnaire. Il faudrait par contre éviter les activités avec les poids et les haltères, les exercices d’entraînement sportif et les activités qui requièrent plus de 70% de votre fréquence cardiaque maximale.
Si tout se passe bien, vous devriez être en mesure de commencer progressivement le retour à l’école ou au travail en commençant par des séances à votre rythme pour vous diriger vers une demi-journée de travaux adaptés et éventuellement une journée complète pour finalement être en mesure de faire un retour vers vos tâches normales. Simultanément, vous les sportifs pourrez commencer un entraînement individuel des compétences propres à votre sport de prédilection qui n’excède pas 60 minutes. L’athlète doit toutefois prêter attention à ne pas faire de mouvements brusques ou qui pourraient entraîner un choc à la tête. Il pourra graduellement participer aux activités de l’équipe plus complexes jusqu’à être en mesure de faire une pleine participation pourvu que celles-ci n’impliquent pas de contact physique. Il devra ensuite être en mesure de participer à un entraînement régulier avec contact sans présenter aucun symptôme.
Avant de pouvoir retourner pleinement au jeu, au travail ou à l’école, la personne qui a subi une commotion cérébrale doit être en mesure d’accomplir ses tâches habituelles sans avoir recours à « aucune substance pharmacologique ni médicament qui risque de masquer ou de modifier les symptômes de la commotion cérébrale.»[c] Par ailleurs « [l]e retour graduel à l’activité cognitive et aux activités physiques individuelles peut progresser tant qu’il n’y a pas de récidive ou d’exacerbation des symptômes. Cependant, une résolution complète des symptômes doit être obtenue avant de participer à des activités à risque de collisions tel que l’entraînement technique sans contact. » [ci] Autrement, la réapparition ou l’aggravation de symptômes nécessitera un petit retour en arrière et une reprise de l’étape du protocole de retour à l’effort cognitif et physique jusqu’à ce que la personne ne ressente aucun symptôme pendant 24 heures. [cii] Advenant que les symptômes persistent au-delà de deux semaines pour un adulte ou de quatre semaines pour un enfant, une réévaluation est nécessaire afin de développer un plan de traitement individualisé.[ciii]
Quelques conseils et pistes de solutions :
Mis à part éviter les sports de contacts et prendre les mesures nécessaires pour éviter de faire une chute ou d’avoir un accident de voiture, il n’y a pas grand-chose à faire pour éviter de subir une commotion cérébrale. La prudence[civ] et la vigilance[cv] resteront toujours vos meilleures alliées pour rester au meilleur de votre forme. Le conseil le plus précieux que nous pouvons vous donner est de consulter rapidement un professionnel de la santé si vous recevez un coup à la tête ou si vous courez le moindre risque d’être aux prises avec une commotion cérébrale. Il s’agit d’une condition sérieuse qui requiert des soins. [cvi]
Loin de nous l’idée de vous démotiver à demeurer actif en pratiquant un sport de contacts. Toutefois, nous vous recommandons fortement de rencontrer un professionnel de santé de confiance afin d’effectuer un test de contrôle[cvii] aussi connu sous le nom d’évaluation de base[cviii]. Il s’agit d’une mesure préventive[cix] comprenant neuf tests[cx] qui « mesure[nt] la fonctionnalité de chaque aire du cerveau lorsque le patient n’est pas blessé. » [cxi] Cette évaluation permet de comparer les résultats entre votre état normal avec celui où vous êtes suspecté d’avoir une commotion cérébrale afin de poser un diagnostic précis, de mesurer l’évolution des symptômes et de favoriser votre guérison.[cxii] Compte tenu de l’absence possible de douleurs et de symptômes apparents, « la majorité des grandes universités américaines font maintenant subir des tests psychométriques à chaque joueur de sport de contact en début de saison pour avoir une référence en cas de commotion. » [cxiii] Il est d’ailleurs recommandé de refaire annuellement le test de base tout particulièrement en début de saison.[cxiv] Selon le consensus de Berlin sur les commotions cérébrales dans le sport, il est généralement possible d’interpréter les résultats de ce test sans avoir un test de base comparatif. [cxv] Par conséquent, il ne recommande pas de faire systématiquement un test de base puisque la sévérité des symptômes suivant l’incident menant à une commotion cérébrale et l’échelle des symptômes pour le suivi sont de bons indicateurs.[cxvi] Certains professionnels de la santé soutiennent qu’il est difficile, sans ce test, de « déterminer qu’un athlète est complètement rétabli » [cxvii] et ainsi éviter un retour au jeu trop précoce.[cxviii] Pour s’assurer que la reprise du sport est sécuritaire, il sera nécessaire de faire plusieurs tests post-trauma. [cxix]
Mot de la fin
Si le sujet vous intéresse, nous vous suggérons de visionner le film Concussion, paru en 2015, qui est basé sur une histoire vraie. Il met en vedette l’acteur Will Smith qui incarne le rôle de Bennet I. Omalu. Il s’agit du neurologue pathologiste qui a découvert des problèmes d’encéphalopathie traumatique chronique au sein de la ligne nationale de football américain. Sachez qu’au Québec, ce film porte le nom Commotion alors qu’il s’intitule Seul contre tous ailleurs dans la francophonie.
Chiropratiquement vôtre,
Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com
Sources :
Association CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
Association CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
Références :
[i] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[ii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[iii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[iv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[v] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[vi] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[vii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[viii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[ix] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[x] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[xii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xiii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xiv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xvi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xvii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xix] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xx] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxi] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xxii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxiii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xxiv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xxv] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xxvi] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xxvii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xxviii] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xxix] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxx] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[xxxii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxiii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[xxxiv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxvi] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxvii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xxxviii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xxxix] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xl] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xli] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xlii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xliii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xliv] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xlv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xlvi] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xlvii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[xlviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[xlix] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[l] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[li] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lii] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[liii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[liv] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lv] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lvi] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lvii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lix] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lx] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxi] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxiii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[lxiv] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[lxv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[lxvi] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxvii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[lxviii] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lxix] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[lxx] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lxxi] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lxxii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[lxxiii] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[lxxiv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[lxxv] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lxxvi] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
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[lxxviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lxxix] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxxx] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lxxxi] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxxxii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[lxxxiii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[lxxxiv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[lxxxv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
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[xc] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xci] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xcii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[xciii] Clinique Chiropratique chambly. Inconnu. Commotion cérébrale, publié en ligne au http://yvesroychiro.ca/soins-offerts/neurologie-fonctionnelle-chiropratique/commotions-cerebrales/
[xciv] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[xcv] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[xcvi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[xcvii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[xcviii] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[xcix] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[c] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[ci] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[cii] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2015. Retour au jeu après une commotion, publié en ligne le 22 juillet 2015 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/retour-au-jeu-apres-une-commotion/
[ciii] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[civ] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[cv] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[cvi] ASSOCIATION CHIROPRATIQUE CANADIENNE (CCA). 2018. 5 choses à savoir sur les commotions cérébrales, publié en ligne le 3 octobre 2018 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-choses-a-savoir-sur-les-commotions-cerebrales/
[cvii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[cviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
soins-offerts-conditions-traitees/soins-offerts/commotions-cerebrales
[cix] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cx] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxi] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxiii] Association des chiropraticiens du Québec (ACQ). Inconnu. La commotion cérébrale et les sports de contact, publié en ligne au https://www.chiropratique.com/fr/chiropratique/douleur/56-la-commotion-cerebrale-et-les-sports-de-contact.html?PCID=1
[cxiv] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxv] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[cxvi] GYMNASTIQUE QUÉBEC. Inconnu. Les 5 principales nouveautés du consensus de Berlin* sur les commotions cérébrales dans le sport, publié en ligne au http://www.gymqc.ca/static/uploaded/Files/Commotion///Autres%20ressources/5_principales_nouveaute%CC%81s_Berlin_MOOC_V2.pdf
[cxvii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxviii] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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[cxix] centre chiromedic. Inconnu. Commotions cérébrales, publié en ligne au http://www.chiromedic.ca/
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Le syndrome croisé supérieur
Il n’est pas nécessaire de chercher bien longtemps pour remarquer quelqu’un avec la tête penchée sur son cellulaire, un autre accroupi sur le volant de son véhicule ou encore un collègue de travail affalé devant son écran d’ordinateur. Bien qu’inconscient, ces différentes mauvaises postures peuvent mener au syndrome croisé supérieur aussi connu sous son nom anglophone Upper crossed syndrome (UCS).
Qu’est-ce que le syndrome croisé supérieur ?
Concrètement, le syndrome croisé supérieur signifie que les muscles des épaules, du cou et de la poitrine sont affaiblis au point d’être déformés. Pour être plus précis, « les muscles du dos du cou et des épaules (trapèze supérieur et scapula releveur) deviennent extrêmement hyperactifs et tendus [alors que les] muscles à l’avant de la poitrine (les muscles pectoraux majeurs et mineurs) deviennent raccourcis et serrés. »[1] Il faut savoir que cette condition se nomme ainsi en raison de la forme « x » qui se développe où les régions des muscles hyperactifs et inactifs se chevauchent.[2]–[3]
Quelles en sont les causes ?
De manière générale, le grand coupable du syndrome croisé supérieur est une mauvaise posture répétée et tout particulièrement celle qui implique d’avoir une posture avancée de la tête ou le dos voûté que l’on soit assis ou debout. Il faut donc être particulièrement vigilant devant l’ordinateur, en utilisant son téléphone cellulaire, en conduisant, en regardant la télévision, en lisant et même en faisant du vélo.[4]–[5] Il est également possible que des blessures ou des handicaps congénitaux aient contribué au développement de cette condition.[6]
Sans grande surprise, l’inactivité est pointée du doigt de même que les activités qui vous garde assis durant une période prolongée et de mauvaises techniques d’exercice. Voici trois grands exemples de postures à adopter lors de l’entraînement. Pour la musculation (bench press), gardez les épaules en bas et en arrière et ne bougez pas les deltoïdes tout au long de l’exercice. Sachez qu’il peut être difficile de maintenir une bonne posture pour faire des haltères avec une barre (deadlift) pour une personne souffrant de syndrome croisé supérieur. Il est important de ne pas fléchir le haut du corps pendant le soulevé. Il serait même conseillé de se faire aider par un entraîneur pour effectuer cet exercice. Pour les flexions (squat), il faut garder la poitrine haute, les omoplates reculées et la tête droite en tout temps.[7]
Quels sont les symptômes ?
Les symptômes généralement ressentis sont de la fatigue, des maux de tête[8]–[9]–[10] ainsi que des raideurs au cou[11]–[12]–[13] et au bas du dos qui peut être douloureux[14]–[15]. Cela dit, le cou et le dos ne sont pas les seules régions susceptibles d’être douloureuses. Il serait également possible que les omoplates, les mâchoires, les épaules, le haut du dos ou le thorax soient sensibles. Les inconforts physiques peuvent également prendre la forme d’engourdissement ou de picotements dans les bras, une difficulté à s’asseoir ou une amplitude de mouvement limitée dans le cou, les épaules et les côtes. Visuellement, il est possible de remarquer le syndrome croisé supérieur chez une personne qui a constamment la tête en position avancée, les épaules élevées ou arrondies, une omoplate qui reste redressée, la région arrière du cou qui est courbé vers l’intérieur et la région du haut du dos qui est courbé vers l’extérieur.[16]–[17]–[18] À long terme, cette condition peut mener à des désordres plus sérieux tels qu’une difficulté à respirer[19]–[20], de l’arthrose ou une maladie dégénérative des articulations.[21]
Que faire pour traiter le syndrome croisé supérieur ?
Le syndrome croisé supérieur n’est généralement pas un problème grave, mais il entraîne des douleurs et des problèmes chroniques qui affectent les muscles. Pour cette raison, il est préférable de consulter un chiropraticien pour faire un bilan de votre condition neuromusculosquelletique afin d’entreprendre des traitements pour améliorer votre situation. En plus de prendre rendez-vous à la Clinique Solution Santé Chiropratique en téléphonant au 514-723-2424 afin que le Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C. vous propose de meilleures postures à adopter au travail, dans les sports et dans votre quotidien. Par la suite, il est intéressant de débuter des exercices en douceur pour renforcer vos muscles.[22]–[23]–[24] Pour éviter d’aggraver les douleurs ressenties, réchauffer vos muscles avec quelques étirements.[25] Aujourd’hui, nous nous intéresserons essentiellement à quelques étirements et un exercice efficace pour corriger le déséquilibre musculaire du syndrome croisé supérieur qui consiste à replacer l’épaule.
Quelques étirements
- Étirement des trapèzes[26]–[27]
Assoyez-vous confortablement en gardant le dos droit. Ensuite, penchez la tête vers l’une des épaules. Passez la main de cette même épaule par-dessus votre tête en l’appuyant sur la joue libre. Gardez cette position une trentaine de secondes avant de passer de recommencer de l’autre côté. Vous devriez reprendre cet exercice au moins trois fois au cours de la journée. - Étirement de l’élévateur de la scapula[28]–[29]
L’exercice ressemble beaucoup à celui de l’étirement des trapèzes. En fait, il y a deux différences majeures. Cette fois, il faut placer la main sur le dessus de la tête et orientez les nez vers l’aisselle. Il faut également faire l’exercice des deux côtés et recommencer au moins trois fois dans la journée. - Étirement de la poitrine[30]
Cet exercice, aussi connu comme étant la position de détente de Brugger, se fait également en position assise. Cette fois, vous devez plutôt vous asseoir sur le bout d’une chaise en plaçant les jambes au sol à une distance un peu plus écartée que les épaules. En gardant les paumes vers le plafond, étirez les bras vers l’arrière. Reprenez la procédure au moins trois fois et ce, plusieurs fois par jour.
Un exercice pertinent
Il s’agit d’un seul exercice qui se fait en plusieurs étapes. Pour vous aider à parvenir à l’exercice complet, nous vous suggérons de pratiquer chaque étape comme un étirement distinct. Une fois bien maîtrisé, vous pourrez faire les différentes simultanément.
- Le menton rentré[31]–[32]
Nous vous avions déjà présenté cet exercice dans l’article L’importance d’ajuster les hautes cervicales pour un système nerveux en santé. Il s’agit de reculer la tête vers l’arrière sans regarder vers le sol, sans faire de rotation ni d’inclinaison. Vous devez garder cette position huit secondes. Il faut faire l’exercice environ cinq fois de suite et reprendre au moins trois fois dans la journée.
- Compression des omoplates[33]
Cet exercice se pratique assis ou debout avec les bras détendus de chaque côté. Pliez ensuite les coudes dans un angle de 90o et poussez les épaules vers l’arrière. Le but est de rapprocher les omoplates l’une contre l’autre sans les élever. Comme pour l’exercice précédent, il faut maintenir la pause environ huit secondes. Il faut ici aussi répéter cinq fois ainsi qu’un minimum de trois fois dans la journée.
- Posture de base
En gros, il s’agit simplement de faire simultanément les deux premiers exercices. Cette posture consiste donc à se tenir droit avec le menton rentré. Pour imager la chose, vous devez reculer et descendre les épaules comme si vos omoplates allaient se cacher dans les poches arrière de vos pantalons tandis que vous reculez votre menton. Bien entendu, il s’agit d’une image exagérée du mouvement. Si vous éprouvez des difficultés, vous pouvez demander à quelqu’un de mettre les mains sur vos épaules pour commencer le mouvement ou encore placer vos mains contre le mur en essayant de pousser vos épaules vers l’arrière.[34]
- La posture de base avec résistance
Vous pouvez renforcir les muscles faibles du syndrome croisé supérieur en utilisant des bandes avec résistante ou des élastiques. L’idée est de faire exactement le même mouvement que la posture de base présentée plus tôt avec une petite résistance. Il est important de ne pas mettre de poids au début. Vous pouvez, par exemple, attacher votre élastique ou votre bande sur une poignée de porte fermée. Tenez-vous face à la porte en tenant une extrémité de l’élastique ou de la bande dans chaque main. Tirez simultanément sur les extrémités en portant vos épaules vers l’arrière de votre corps sans bouger vos pieds. Il est important de ne pas utiliser le bas du dos et de prendre le temps de bien exécuter le mouvement avant d’augmenter la résistance. Vous devriez répéter l’exercice de dix à quinze fois en prenant une pause d’une à deux secondes lorsque vos épaules sont reculées avant de revenir à la position de départ. Vous pourriez également faire cet exercice au gym[35] sur une machine à poulie.[36]
- Variante de la posture de base avec résistance
Une autre variante est d’être debout en tenant une corde, un élastique ou une bande avec résistance en tendant vos bras droits devant vous ou en plaçant les coudes de chaque côté du corps. Tirez sur les extrémités pour ouvrir la poitrine en reculant les omoplates vers l’arrière et le bas. Pour augmenter la difficulté de cet exercice, vous pouvez ouvrir complètement les bras vers l’arrière en gardant les paumes vers l’extérieur.[37]
Que faire pour éviter de vivre avec cette condition ?
Aussi extrême que cela puisse paraître la meilleure façon de ne pas vivre avec les conséquences d’un syndrome croisé supérieur est d’éviter, ou à tout le moins limiter, les activités qui incitent à adopter une posture avancée de la tête. Ces activités sont notamment lire, conduire, écouter la télévision ou encore être sur un ordinateur, une tablette numérique ou un cellulaire. S’il n’est pas nécessairement réaliste d’éviter toutes ses activités, il est toutefois possible de faire attention à sa posture lorsque nous les effectuons. Par ailleurs, n’hésitez pas à prendre des pauses, à varier vos tâches pour varier vos postures, à faire des petits étirements discrets ainsi qu’à assurer l’ergonomie de votre bureau, de votre poste de travail et des endroits où vous passez de nombreuses heures. Bien entendu, faire de l’activité physique une trentaine de minutes par jour aideront réduire les symptômes et à prévenir leur apparition. Misez plus particulièrement sur une activité cardiovasculaire à faible impact, tel que la marche ou la natation, et des exercices de renforcements des muscles du haut du corps spécialement ceux du cou et des épaules. Pour aller plus loin, vous devriez dormir sur un seul oreiller, utiliser un casque pour les longs appels téléphoniques,[38] vous munir d’un lutrin pour faire de la transcription et vous pourriez utiliser un rouleau lombaire sur une chaise.
Maintes fois par le passé, nous avons consacré une partie ou le contenu entier d’un article sur l’importance d’adopter une bonne posture. Nous ne reviendrons pas sur les détails que vous retrouverez, entre autres, dans notre article Les postures debout – sac à dos, sac à main, chaussures, etc., Les postures assises – au travail, en voiture et devant la télévision, etc., Les postures pour soulever une charge, Un cycliste bien positionné ou encore Pelleter en toute sécurité.
Conclusion
Les habitudes sédentaires, les mauvaises postures et la grande présence des technologies dans notre vie font en sorte que le syndrome croisé supérieur est une condition de plus en plus visible. N’attendez pas d’avoir la tête avancée, le dos voûté et des douleurs dans le haut du corps avant de consulter un docteur en chiropratique pour vous aider à retrouver une meilleure mobilité et réduire les douleurs dans vos activités courantes. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de nombreux étirements et exercices pour vous aider à corriger, ou à tout le moins améliorer, la situation. Prenez votre santé en main dès aujourd’hui.
Chiropratiquement vôtre,
Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com
Sources:
Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
Références :
[1] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[2] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[3] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[4] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[5] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[6] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[7] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[8] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[9] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[10] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[11] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[12] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[13] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[14] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[15] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[16] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[17] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[18] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[19] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[20] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[21] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[22] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[23] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[24] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[25] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
[26] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[27] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[28] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[29] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[30] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
[31] Association chiropratique canadienne. 2017. 5 étirements et exercices pour améliorer la posture, publié en ligne le 1er mars 2017 au https://www.chiropractic.ca/fr/blogue/5-etirements-et-exercices-pour-ameliorer-la-posture/
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[34] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[35] HEALTH AND EXERCISE. Inconnu. Posture Correction Exercises for Upper Crossed Syndrome, publié en ligne au https://www.healthandexercise.com.au/exercise-physiology/exercise-physiologyposture-correction-exercises-upper-crossed-syndrome/
[36] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[37] GARNAS. Eirik. 2015. Upper Crossed Syndrome: 4 Steps to Correct Rounded Shoulders and Hunchback Posture, publié en ligne le 2 décembre 2015 au http://darwinian-medicine.com/upper-crossed-syndrome-4-steps-to-correct-rounded-shoulders-and-hunchback-posture/
[38] HUIZEN,Jennifer. 2017. Upper crossed syndrome: Causes, symptoms, and exercises, publié en ligne le 11 août 2017 au https://www.medicalnewstoday.com/articles/318897.php
La prévention des problèmes musculosquelettiques en milieu de travail
À peu près tout le monde connaît quelqu’un qui a souffert de maux de dos à un moment ou l’autre de sa vie. Il n’est d’ailleurs pas rare d’entendre nos patients nous dire qu’ils ont parlé de nous à l’un de leurs collègues qui se plaignaient de douleurs au bureau. Cette réalité nous a inspiré un précédent article intitulé Petites phrases souvent entendues au travail… la chiropratique peut vous aider. Au-delà de ces tranches de vie, les statistiques indiquent qu’environ 80% des Canadiens souffriront de lombalgie.[1] C’est d’ailleurs « l’une des principales causes d’invalidité et d’arrêt de travail prolongé » [2]. Cette condition fait partie des problèmes musculosquelettiques qui affectent les travailleurs.
Les 3 principaux facteurs de risques en milieu de travail
Bien que plusieurs raisons soient évoquées pour expliquer des douleurs au niveau du dos et au niveau du cou, trois facteurs reviennent constamment à la charge en matière de douleurs professionnelles.
1. Les tâches répétitives[3] :
S’il n’est pas nécessairement possible de modifier vos tâches de travail, assurez-vous de les exécuter sans ajouter de pression supplémentaire sur le reste du corps. Par exemple, si vous devez soulever des charges, placez-vous le plus près possible de l’objet en y faisant face, pliez les genoux et utilisez vos muscles plutôt que votre dos[4]. Ceux qui travaillent debout devraient essayer d’être détendus en fléchissant légèrement les articulations sollicitées et en évitant de contracter les genoux et les coudes[5].
2. Les positions assises[6] :
Le fait d’avoir un travail qui s’effectue essentiellement assis s’ajoute à un problème plus large des pays industrialisés soit l’inactivité ou, si vous préférez, cette tendance à avoir un mode de vie où l’activité physique ne fait pas partie de la routine quotidienne. Concrètement, demeurer assis la majorité de la journée augmente la pression exercée sur les disques vertébraux. [7] Pour éviter que votre emploi statique entraîne des problèmes musculosquelettiques vous devriez profiter de toutes les occasions possibles pour vous lever de votre siège[8] notamment lors de vos pauses, être actif tous les jours[9] ne serait-ce qu’en prenant une marche sur votre heure de dîner ou en modifiant vos moyens de transport ainsi qu’en améliorant votre posture. Nous vous recommandons fortement de lire l’article Les postures assises – au travail, en voiture et devant la télévision, etc. qui vous propose dix astuces pour adopter une posture assise idéale.
3. Les longues heures passées devant l’ordinateur[10] :
La technologie a pris d’assaut les différents milieux professionnels. Les ordinateurs, tablettes numériques et cellulaires font partie du quotidien de nombreux travailleurs. Le problème n’est pas nécessairement le fait de simplifier vos tâches en vous tournant vers ces outils technologiques. C’est plutôt la posture adoptée qui pose problème. Il suffit de regarder autour de vous pour constater que plusieurs personnes ont la tête penchée sur leur cellulaire ou les épaules voûtées vers l’avant devant leur ordinateur. Se positionner de la sorte crée une posture avancée de la tête qui porte le nom de « Text-neck syndrome » et qui occasionne des raideurs au niveau du cou et du bas du dos. [11] Pour prévenir l’apparition de ce problème, redécouvrez les 11 astuces pour utiliser votre cellulaire sans engendrer un text-neck syndrome pour trouver des exercices et des étirements tout à fait adaptés à la vie technologique.
Les conséquences
Les problèmes musculosquelettiques en milieu de travail entraînent leur lots d’inconvénients qui vont bien au-delà des raideurs ou de la douleur ressentie[12]–[13]. Il nous apparaît important de rappeler que les malaises physiques sont un signal d’alarme que quelque chose de sérieux se passe dans le corps. Lorsqu’une région est affectée, elle interagit sur l’ensemble du corps[14] qui doit souvent compenser pour permettre à la personne de continuer à fonctionner. Un problème non réglé peut mener à des conséquences plus graves passant des douleurs chroniques à l’invalidité[15]–[16] et la perte de revenu pour la famille[17] qui y est associée. Pour l’employeur, il y a des coûts directs à avoir des employés souffrant de problèmes musculosquelettiques comprenant, entres autres, une baisse de productivité, un plus aux taux d’absentéisme [18] et le risque de perdre de bons employés[19]–[20]. « Selon le Centre canadien d’hygiène et de santé au travail, les problèmes MS les plus courants en milieu de travail » [21] comprennent le syndrome de la traversée thoracobrachiale, l’épycondilite, le syndrome du canal carpien, ainsi que la tendinite et la ténosynovite. L’image suivante de l’Association chiropratique Canadienne[22] offre une rapide synthèse de ces conditions musculosquelettiques.
La chiropratique
Comme vous pouvez le constater, la prévention des problèmes musculosquelettiques au sein des entreprises est l’affaire de tout le monde. Les employeurs doivent fournir un cadre de travail sécuritaire et les employés doivent être vigilants à leur posture pour demeurer au meilleur de leur forme. Ce que vous ignorez peut-être, c’est que lLa chiropratique est un allier de premier choix en ce qui concerne les problèmes musculosquelettiques en milieu de travail. En début d’année, nous vous avions traduit un article concernant le fait que « [d]es études ont démontré que les patients traités en chiropratique pour des problèmes MS de nature professionnelle reprennent le travail plus rapidement que s’ils étaient soumis à des soins médicaux traditionnels »[23]. En fait, les docteurs en chiropratique doivent suivre un rigoureux doctorat universitaire qui leur permet d’évaluer votre santé neuromusculosquelletique afin de vous fournir un juste diagnostique de votre condition et un plan de traitement adapté[24]. En plus de traiter les problèmes musculosquelettiques grâce à différentes techniques : manipulation et mobilisation des articulations, thérapie des tissus mous, applications, réadaptation, exercices personnalisés et conseils de style de vie »[25], il est habilité à vous aider à diminuer les risques de rechutes[26]–[27] en plus de vous donner de précieux conseils pour aménager votre poste de travail afin d’assurer son ergonomie [28]. Rappelez-vous, la prévention demeure la clé pour retrouver une santé optimale. N’attendez pas que la situation ne se détériore et prenez rendez-vous au (819) 804-4440 ou par courriel au monchirocoaticook@gmail.com, pour faire évaluer l’état de votre santé neuromusculosquelletique. Vous pourriez reprendre vos activités professionnelles, personnelles et familiales plus rapidement que vous le croyez.
Pour aller plus loin, sachez que les chiropraticiens canadiens ont créé une application « pour améliorer votre posture et prévenir les douleurs cervicales et dorsales au travail»[29]. Pour plus d’informations sur cette application, suivez ce lien ALLEZ BOUGEZ CANADA.
Chiropratiquement vôtre,
Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com
Sources :
Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
Références :
[1] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[2] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[3] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[4] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[5] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[6] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[7] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[8] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[9] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[10] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[11] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[12] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[13] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[14] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[15] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[16] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[17] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[18] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[19] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[20] Association chiropratique canadienne. 2015. Une main-d’œuvre en meilleure santé : le traitement adéquat des problèmes MS, publié en ligne le 21 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/une-main-doeuvre-en-meilleure-sante-le-traitement-adequat-des-problemes-ms/
[21] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[22] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[23] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[24] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[25] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[26] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[27] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
[28] Association chiropratique canadienne. 2014. Traitement chiropratique des douleurs et blessures professionnelles, publié en ligne le 29 octobre 2014 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/traitement-chiropratique-des-douleurs-et-blessures-professionnelles/
[29] Association chiropratique canadienne. 2015. Blessures professionnelles : les chiropraticiens vous aident, publié en ligne le 7 janvier 2015 au http://www.chiropractic.ca/fr/blogue/blessures-professionnelles-les-chiropraticiens-vous-aident/
Des devoirs et des leçons efficaces
Que vous passiez plusieurs heures à travailler sur un ordinateur dans le cadre professionnel ou que vous installiez un bureau de travail pour faciliter les études d’un membre de la famille, les conseils suivants peuvent vous être utiles. Il est important d’ajuster votre poste de travail ou le lieu d’études à la physionomie des utilisateurs pour éviter d’éventuels douleurs et inconforts. Pour ce faire, prêtez attention à votre posture, à votre chaise et à l’emplacement de votre écran et de votre clavier d’ordinateur.
Une posture gagnante
Que vous soyez assis pour travailler à l’ordinateur, pour lire ou pour faire vos devoirs, vous devriez vous asseoir de façon à ce que la tête, les épaules et les hanches forment une ligne droite. Assurez-vous que les épaules ne sont pas affaissées vers l’avant, mais plutôt légèrement poussées vers l’arrière afin d’éviter des tensions inutiles au niveau de la nuque et des épaules. Autant que possible, évitez de croiser les jambes ou alors, contentez-vous de les croiser à la hauteur des mollets. Idéalement, les jambes devraient être posées à plat au sol ou contre un repose-pied et former un angle de 90o au niveau des genoux. Vous devriez même avoir les genoux légèrement plus bas que les hanches en vous assurant que l’arrière des genoux ne touche pas au siège. Autrement, vous risquez de créer une pression inutile, d’avoir les jambes enflées ou d’avoir des varices. Pour aller encore plus loin, nous vous recommandons l’article Les postures assises – au travail, en voiture et devant la télévision, etc. disponible sur notre site Internet.
Une chaise ergonomique
Idéalement, misez sur une chaise qui offre plusieurs ajustements. C’est un investissement particulièrement rentable lorsque plusieurs personnes partagent le même bureau. En plus de la possibilité de régler la hauteur du siège, recherchez une chaise avec un support lombaire et des appuis-bras. L’option d’un support lombaire favorise une meilleure posture et réduit les risques de ressentir des maux de dos. À défaut d’un support lombaire, un dossier qui appuie sur la courbe naturelle du dos vous sera salutaire. Pour un maximum de confort, vous pouvez également vous tourner vers un dossier dont l’inclinaison peut être entre 90o à 120o. En ce qui a trait aux appuis-bras, ils doivent permettre une position naturelle où le coude repose à 90o tout en restant près du corps lorsque les mains sont sur le clavier. Si vous prévoyez de passer de longues heures sur l’ordinateur, il est intéressant d’investir sur des accoudoirs qui pivotent à la hauteur des coudes afin d’enlever un maximum de pression sur les épaules. Autrement, essayez de reproduire une position idéale à l’aide des réglages possibles.
Un écran et un clavier d’ordinateur optimal
Comme nous l’avons mentionné dans notre dernier article intitulé Les 5 causes les plus courantes de la douleur au cou « […]les personnes qui travaillent plusieurs heures à l’ordinateur ont tendance à avoir une posture avancée de la tête[1] qui modifie la courbe naturelle de la colonne cervicale[2] ce qui affecte la façon dont le cou supporte le poids de la tête et occasionne « souvent de[s] ‘’points’’ dans le dos et entre les omoplates. [3]» Pour assurer une posture adéquate, votre écran d’ordinateur devrait être placé à la hauteur des yeux à une distance qui varie entre 70 et 90 cm soit la distance d’un bras. Afin de réduire les risques de souffrir de maux de tête, de raideur au cou, des troubles de la vision, une fatigue oculaire ou des yeux secs, il est important de s’assurer de ne pas avoir le cou penché que ce soit vers l’avant ou vers l’arrière. Pour ce faire, vous pouvez faire l’acquisition d’un support à écran prévu à cet effet ou, plus simplement, poser l’écran sur une pile de livres ou de revues stables. Si vous avez de longs documents à lire ou à consulter pendant votre travail à l’ordinateur, n’hésitez pas à placer le document sur un lutrin à la même hauteur que votre écran. Une autre astuce pour ménager votre cou consiste à maîtriser votre doigté pour éviter de devoir pencher les la tête en direction de votre clavier. Notez que la tablette numérique et le cellulaire sont d’autres écrans populaires auprès des étudiants auxquels il faut être vigilant. Si le sujet vous intéresse, consultez notre article 11 astuces pour utiliser votre cellulaire sans engendrer un text-neck syndrome.
En ce qui concerne le clavier de votre ordinateur, il est préférable de miser sur le confort en optant pour une position neutre des poignets. À titre d’exemple, une personne aux fortes épaules aura tendance à contracter les épaules vers l’avant et vers l’intérieur ce qui occasionne des douleurs dans les épaules, les omoplates et même la nuque. Pour pallier à ce problème, sachez qu’il existe différentes grosseurs de clavier, des plateaux réglables et même des accessoires tels que des appuie-paumes pour vous aider dans votre rechercher de confort. Mine de rien, un clavier qui n’est pas approprié peut causer des tendinites ou un syndrome du tunnel carpien aussi appelé syndrome du canal carpien.
Par ailleurs, il peut être difficile de trouver un équilibre entre la position de l’écran et du clavier lorsque vous travaillez de longues périodes sur un ordinateur portable. Si vous n’avez pas l’option de travailler sur un ordinateur de bureau et que vous ne possédez pas de clavier externe ou d’un écran d’ordinateur supplémentaire, essayez d’adopter une posture confortable et varier la position de l’écran et du clavier de temps en temps. Vous pourriez, par exemple, placer l’écran à une hauteur optimale en posant l’ordinateur portable sur un support pour ordinateur portatif dont la plate-forme permet de surélever l’écran et de placer le clavier dans un angle de 12° à 35° et le placer, un peu plus tard, directement sur le bureau ou la table de travail.
Pour aller plus loin dans la réalisation des devoirs et des leçons
« Saviez-vous qu’un enfant qui ne consomme pas de boissons sucrées peut avoir de meilleurs résultats en lecture ? Que l’exercice physique stimule la mémoire et que le sommeil améliore la concentration ? Au fil du temps, plusieurs recherches ont en effet prouvé que les saines habitudes de vie[,] bien manger, faire de l’exercice physique durant 30 minutes tous les jours et dormir entre 8 et 12 heures par nuit contribuent de manières significatives à la réussite scolaire. » – LE PROGRES D COATICCOK. 2017. Les saines habitudes de vie qui aident à la réussite scolaire, publiée dans le journal Le Progrès de Coaticook le mercredi 9 août 2017, dossier La rentrée, page 8 |
Le succès des devoirs et des leçons comprend, entre autres, une posture adéquate et un poste de travail ergonomique tel que décrit précédemment. Cela implique notamment de s’installer à un bureau ou à une table plutôt que sur le lit, le sofa ou le sol. Il est également important de se tenir loin des sources de distractions telles que la musique, le téléphone ou la télévision afin de ne pas nuire à la concentration de l’élève. Ce qui est un peu moins évidant est l’importance d’inculquer de saines habitudes de vie à vos enfants.
La vérité sur l’étude
Méthodes d’étude |
Information retenue après 24 heures |
Simple lecture |
10% |
Audition (écouter le cours) |
20% |
Audition et visualisation (lire et écouter) |
50% |
Exprimer, faire et être impliquer |
90% |
Bien que les résultats d’examens soient un bon indicateur de la qualité du travail lors des travaux et de leçons, il est possible d’avoir une idée de leurs efforts bien avant de recevoir le premier bulletin scolaire. Une bonne façon de faire est de poser des questions à votre enfant sur les matières qui sont à l’étude et même de lui demander de vous expliquer une notion pour vous assurer de sa compréhension. Si le résultat ne semble pas suffisant, vous pouvez l’aider à étudier de manière plus efficace. Pour ce faire, commencez par vous assurer qu’il sait comment utiliser son agenda. Aussi simple que cela puisse paraître, certains enfants oublient quand aura lieu le prochain examen et il devient alors difficile pour eux de s’y préparer adéquatement. Il suffit pourtant d’écrire dans l’agenda tous les devoirs de la semaine à la date de remise et d’inscrire les examens avec le sujet sur lequel il porte. Déjà là, il sera plus facile de gérer les urgences et les priorités. En cas de doute, commencer par ce qui semble le plus difficile pour garder ce qui est plus facile ou agréable à travailler lorsque l’énergie est en baisse. Pour mettre en évidence les dates d’examens, il est intéressant d’encadrer ou de surligner le mot « examen ». En étant conscient du sujet sur lequel portent ses examens, vous pourrez aider votre enfant à diviser ses leçons et ses devoirs en petites parties. S’il a une dictée sur 15 mots de vocabulaire le vendredi, par exemple, vous pourriez lui suggérer d’étudier 5 mots par soir du lundi au mercredi et de faire une révision de la liste complète le jeudi. Pour éviter qu’il ne se décourage pas devant la tâche à accomplir, invitez-le à faire un petit crochet à côté des travaux ou des leçons complétées. Il pourrait également le surligner en jaune si c’est plus visuel pour lui.
Bonus
Quelques petits trucs
La période de devoirs et des leçons est rarement le moment préféré de votre enfant qu’il soit à l’école primaire ou secondaire. Si certaines écoles ont choisi de ne plus envoyer de travaux à compléter à la maison, ce n’est pas un phénomène généralisé au Québec. Pour vous aider à faire face aux principales objections de votre enfant, nous vous avons préparé quelques trucs pour mieux gérer cette étape de son apprentissage.
- Est-ce que c’est fini ? : Si votre enfant revient souvent à la charge avec cette question, mettez la feuille de leçons et de devoirs bien à sa vue. N’hésitez pas à lui lire la liste afin qu’il réalise qu’il y a un début et une fin. Vous pouvez également faire un petit crochet à côté de chaque item complété.
- C’est long ! Trop long. : Si votre enfant prend un temps énorme pour faire ses tâches scolaires, utilisez votre minuterie de cuisine pour lui fixer un délai de temps pour réaliser son travail.
- J’ai fini ! : Si votre enfant tente d’expédier ses études en prétendant avoir terminé tout ce qu’il avait fait, vous pouvez fixer une durée obligatoire. S’il termine avant le temps prévu, il devra réviser ses leçons, refaire les exercices corrigés en classe qu’il n’a pas réussis ou travailler dans un cahier d’exercices adapter à son niveau scolaire.
- J’ai tout fait en classe ou au service de garde. : Montrez-lui que vous vous intéressez à son travail en lui demandant de vous montrer ce qu’il a fait. Vous pourrez alors vérifier avec sa liste de travaux s’il essaie de vous en passer une petite vite.
- C’est correct. Ce n’est pas grave. : Si votre enfant à tendance à gâcher son travail, il faut être ferme et lui demander de recommencer. Il réalisera ainsi qu’il est important qu’il s’applique.
- Oups ! J’ai oublié mes choses. : Essayez de choisir des cahiers aux couleurs variées ou une identification spéciale pour chaque matière afin de favoriser une habitude visuelle. Vous pouvez aussi lui préparer un coffre à crayon avec le nécessaire de base pour faire ses devoirs à la maison.
- Je ne t’ai pas dit ce qui s’est passé aujourd’hui à l’école. : Ne tombez pas dans le piège de laisser votre enfant vous raconter sa journée au moment des devoirs et des leçons. Vous pourriez, par exemple, prévoir une collation à durée fixe avant de commencer ses travaux scolaires où il peut vous raconter sa journée. Après quoi, dites-lui simplement que vous en reparlerez quand il aura terminé son travail.
- Les devoirs c’est plate !: Les jeunes enfants ont parfois besoin d’un tableau de renforcement et des collants ou des estampes qui sont très appréciés des enfants. Ce tableau peut inclure des éléments tels que : j’ai tout mon matériel, j’a bien préparé mon sac d’école, je suis calme pendant mes travaux, je commence mes devoirs à l’heure, je travaille de façon autonome, je remets mes travaux à temps ou je trouve des trucs pour apprendre à ma façon. Les plus vieux peuvent être motivés par une récompense s’ils atteignent leur objectif aux bulletins scolaires tels qu’une soirée au cinéma, un repas à leur restaurant préféré ou cette paire de souliers de course qu’il a vue au magasin. Autrement, essayez d’agrémenter la séance de leçons et de devoirs. Les plus jeunes peuvent apprendre leurs mots de vocabulaire, les sons ou les syllabes sur un petit tableau blanc avec des crayons effaçables puisqu’ils aiment généralement jouer à faire semblant. En grandissant, utilisez deux dés pour lui faire pratiquer certaines notions telles que nommer deux nombres, mettre en ordre croissant/décroissant, le plus grand/petit, additionner/soustraire, multiplier/diviser, nommer le chiffre avant/après, ajouter ou enlever tel chiffre à au total des dés, calculer ce qu’il manque pour obtenir un certain total.
En conclusion
Nous avons à cœur votre santé et celle de vos enfants. La chiropratique est un merveilleux allié pour votre santé. Il faut dire qu’une colonne désalignée interfère dans la transmission des informations provenant du cerveau vers le reste du corps. Par ailleurs, votre docteur en chiropratique peut vous aider à rendre votre bureau plus ergonomique (article), pour ajuster le sac à dos de votre enfant ou pour vous aider à adopter de saines habitudes de vie. Prenez un rendez-vous dès aujourd’hui pour une consultation.
Chiropratiquement vôtre,
Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com
Sources :
ASSOCIATION DES CHIROPRATICIENS DU QUÉBEC. Inconnu. Une bonne position pour les devoirs et les leçons, publié dans un journal dans la section « « Enseignement privé » en page 44
LE PROGRES D COATICCOK. 2017. Les saines habitudes de vie qui aident à la réussite scolaire, publié dans le journal Le Progrès de Coaticook le mercredi 9 août 2017, dossier La rentrée, page 8
TOUT POUR LE DOS. Inconnu. Comment améliorer votre posture à l’ordinateur, dépliant informatif, 2 pages
[1] AXO PHYSIO. Inconnu. Les maux de cou, ou cervicalgies, publié en ligne au http://axophysio.com/maux-au-cou/
[2] MALENFANT, Joëlle. 2010. La chiropratique et la douleur au cou, publié en ligne le 25 octobre 2010 au http://www.mamanpourlavie.com/sante/alternatives-naturelles/chiropratique/5287-la-chiropratique-et-la-douleur-au-cou.thtml
[3] AXO PHYSIO. Inconnu. Les maux de cou, ou cervicalgies, publié en ligne au http://axophysio.com/maux-au-cou/